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Affichage des articles du mars, 2021

LE PRINTEMPS DES POÈTES, DÉCOUVREZ DE NOUVEAUX POÈMES …

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  Cette année encore le printemps des poètes ne peut se dérouler en réunion conviviale. Vous avez jusqu'à demain lundi 29 mars  pour nous envoyer le ou les poèmes que   vous avez écrit(s) ou découvert(s) par mail ou par courrier. Une fois tous les poèmes publiés, chacune, chacun pourra choisir son poème préféré en nous envoyant son choix à :  info.vivreasimiane@gmail.com . Pas de prix, juste le plaisir de relire celui qui aura séduit le plus grand nombre. Poème n°12 Écrit par Gérald Chauvreau, quelques mots très printaniers écrit pour un almanach qu'Annie Cros réalise en calligraphie et motifs pour chaque mois de l'année 2021. "Mars"   Un mois, une planète, un dieu,  La sève qui monte Et la jeunesse qu'on envoie à la guerre. Poème n°13 Présenté par Josie Tamburini, "Le front aux vitres" de Paul Eluard,  extrait du recueil "L'amour la poésie" 1929 ; Le poète évoque ce point de tension ultime où l'absence et l'attente aiguisent le

LE COIN DU LECTEUR : Laisse aller ton serviteur, Simon Berger

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  Le groupe de lecture vous présente dans cette rubrique un résumé de livres que certains d’entre-nous ont particulièrement appréciés. Aujourd'hui,  Josie Tamburini  vous présente : Laisse aller ton serviteur,  S imon Berger "   Ceux qui apprécient la musique de Bach aimeront ce court récit où se mêlent fiction et réalité. Pendant l'hiver 1705 Jean Sébastien Bach est organiste à Arnstadt. Il n'a que 20 ans mais déjà sa réputation grandit. L'un de ses élèves lui révèle l'existence d'une partition rare de Dietrich Buxtehude, le maître de Lübeck qui fut l'ami de son père Ambrosius. Il en achète un exemplaire, sept cantates sur les blessures et les souffrances du Christ. La découverte de cette musique christique plonge le jeune Bach dans une extase qui ne le quittera plus. Il décide de franchir à pied, malgré le froid glacial, les 100 lieues qui le séparent de Lübeck où vit Buxtehude avec sa famille, un vrai pélérinage initiatique semé d'embûches, toute

LE PRINTEMPS DES POÈTES, À DÉCOUVRIR AUJOURD'HUI WALTER BRISS, JACQUES PRÉVERT ET ARTHUR RIMBAUD

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    Cette année encore le printemps des poètes ne peut se dérouler en réunion conviviale. Nous vous proposons de nous envoyer le ou les poèmes que   vous avez écrit(s) ou découvert(s) par mail ou par courrier au plus tard le 29 mars. Une fois tous les poèmes publiés, dès le 29 mars, chacune, chacun choisira son poème préféré. Pas de prix, juste le plaisir de relire celui qui aura séduit le plus grand nombre. Poème n°9 Écrit par André Torno, extrait du recueil publié en 2020 sous le pseudonyme Walter Briss Ecoutes, Ecoute le cri multiple de tous les enfants qui vont naître, de l’autre côté là-bas  La trame se déchire, c’est la déconnexion Tes yeux Ne sont pas assez grands pour voir la déchirure Mais De nouveaux soleils te couvrent de brûlures Tu te surprends à regretter les nuits glaciales  Du temps de tes solitudes Trop tard Il n’y a plus de chemin que tu puisses prendre Tout Tout est décidé à ta place Trop petit   Tu es trop petit,  Respire Respire l’odeur de la Fin  Le soufre et les

ASSOCIATION "AMILURE"

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  De nouveaux articles ont été publiés sur notre site en Mars 2021 Un deuxième projet photovoltaïque à Aubignosc (Malaga) Ce projet de 50 ha à l’origine a été revu à la baisse pour une emprise de près de 6 ha.​ L’étude d’impact présente des imprécisions et des insuffisances, en particulier sur la justification du site retenu, qui ne permet pas de s’assurer que ce choix est justifié eu égard à ses impacts environnementaux, notamment sur le paysage, aussi bien à l’échelle intercommunale que communale.  Lire l'article   L'enquête publique se déroulera du lundi 15 mars 2021 au mardi 20 avril 2021 à la mairie. Lire l'article     Un aperçu concret du mitage Vous pouvez découvrir le  territoire  qu'Amilure protège ainsi que la  carte  des installations industrielles existantes et en projet.     Est-il trop tard pour sauver la Sainte-Victoire ? Une pétition en ligne soutenue par Stéphane Bern Amilure soutient cette pétition et vous encourage à la signer. Lire l’article Amis d&#

LE PRINTEMPS DES POÈTES, DE NOUVEAUX POÈMES SONT À DÉCOUVRIR

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  Cette année encore le printemps des poètes ne peut se dérouler en réunion conviviale. Nous vous proposons de nous envoyer le ou les poèmes que   vous avez écrit(s) ou découvert(s) par mail ou par courrier au plus tard le 29 mars. Une fois tous les poèmes publiés, dès le 29 mars, chacune, chacun choisira son poème préféré. Pas de prix, juste le plaisir de relire celui qui aura séduit le plus grand nombre. Poème n°4 Présenté par Lisbeth Appy : Boris Vian … sur un désir de poule   J'ai acheté du pain dur Pour le mettre sur le mur Par la barbe Farigoule Il n'est pas venu de poule J'en étais bien sûr, maman J'en étais bien sûr. Poème n°5 Présenté par Lisbeth Appy : Raymond Queneau … sur un désir de métro  (tout ce qu'écrit Queaneau est poésie)   - Zazie, déclare Gabriel en prenant un air majestueux trouvé sans peine dans son répertoire, si ça te plaît de voir vraiment les Invalides et le tombeau véritable du vrai Napoléon, je t'y conduirai. - Napoléon mon cul, rép

LE COIN DU LECTEUR

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Le groupe de lecture vous présente dans cette rubrique un résumé de livres que certains d’entre-nous ont particulièrement appréciés. Aujourd'hui,  Gérald Chauvreau  vous présente : L'anomalie, Hervé Le Tellier Interview … La Grande Librairie,  Hervé Le Tellier, prix Goncourt 2020 "  Il y avait longtemps que je n'avais pas lu un si bon roman, facile pour quiconque et d'aussi bonne facture !  Parfois et même souvent, j'aime des choses pénibles pour les autres sans m'en rendre compte ou bien trop d'avant-garde. Mais cette fois je suis trop d'accord avec le Goncourt.  Lisez "L'anomalie" de Hervé Le Tellier !  C'est trop bon, très actuel, ça reste dans la pop-culture et tout à fait littéraire. Un petit frère de Queneau ou de Perec, un oulipien.    Bon, comme révélation à mon sens, ces 5 dernières années, il y a lui, Le Tellier, puis Jón Kalman Stefánsson ,  Virginie Despentes et  Laurent Chalumeau .  C'est ce que j'ai lu de mei

LE PRINTEMPS DES POÈTES, VOS PREMIERS POÈMES SONT À DÉCOUVRIR

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  Cette année encore le printemps des poètes ne peut se dérouler en réunion conviviale. Nous vous proposons de nous envoyer le ou les poèmes que   vous avez écrit(s) ou découvert(s) par mail ou par courrier au plus tard le 29 mars. Une fois tous les poèmes publiés, dès le 29 mars, chacune, chacun choisira son poème préféré. Pas de prix, juste le plaisir de relire celui qui aura séduit le plus grand nombre. Poème n°1 Présenté et traduit par Gilbert Elkaïm. Pablo Neruda, "Cien sonetos de amor". En français, "La centaine d’amour" Sonnet 66   Je ne t'aime pas, mais seulement parce que je t'aime et de t'aimer à ne pas t'aimer je vais et de t'attendre quand je ne t'attends plus passe mon cœur du froid au feu.   Je t'aime seulement parce que je t'aime toi, je te hais sans fin, et te haïssant te supplie, et la mesure de mon amour nomade est de ne pas te voir et de t'aimer comme un aveugle.   Peut-être la lumière de janvier consumera, de s

VU DANS LA PRESSE

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La semaine dernière dans les colonnes de la Provence !  

LA MINUTE DE L'HISTOIRE

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Yves Bonnefoy,  … un poète à Simiane-la-Rotonde En 1963, Yves Bonnefoy achète avec sa femme Lucie, l’ancienne abbaye de Boulinette (Valsaintes) Il raconte :  "… c’est tout à fait par hasard que pendant l’été 63, nous sommes rentrés, Lucie et moi dans une région de Haute Provence qui était alors déserte et semblait retirée du monde, …des collines boisées , un grand ciel, d’étroits chemins sous le ciel parmi les pierres, l’éternité des cultures simples, de quelques bergers, des troupeaux, partout beaucoup de silence ..." Valsaintes est la scène de sa réflexion sur l’espérance, le leurre, l’erreur, le vrai. Il dit encore :  "La poésie est une expérience du monde hors langage.. L’angoisse s’apaiserait, l’existence pourrait prétendre à une harmonie…" "…. La maison de Valsaintes, j’en avais fait mon grand rêve, je l’avais vécue et parlée avec les mots de ce rêve…" (Extraits de l’entretien de Y.B. avec John Naughton en Avril 2005 à propos de "Ce qui fut sans