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Simiane 80

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DIMANCHE 20 AOUT 2022 18h, salle des fêtes Pierre Martel                       Projection Simiane 80                              Ce que nous en disions en 2010 Souvenir, souvenir! ..... hélas, il n'y aura plus de DVD à vendre  

chorale sarabande

Bonjour à tous ! la rentrée approche et nous allons bientôt reprendre le chemin des répétitions. Cette année, pas d'obligation vaccinale, ni de pass sanitaire (pourvu que ça dure !) Alors, je compte sur vous pour diffuser cette info, que ce soit sous forme d'affiche ou de flyer papier ou en relayant ce message par voie électronique. Merci d'avance ! Gilles Chuzeville 06 87 05 36 29

chemins de Randonnées

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  La mairie de Simiane vient d'éditer cinq fiches de promenades-randonnées autour de notre village.  Côté recto se trouve une explication sur le parcours (départ, distance, durée, difficulté, dénivelé et balisage) plus un descriptif du patrimoine, curiosités et ressources,  Au verso, une carte détaillée et un descriptif du parcours. Vous aurez le choix entre : le chemin du bout des vignes – 2,5 km, facile Le tour du Défens – 3,5 km, modérée le tour de l'Espéron – 11,5 km, modérée le tour de Trévieille – 15 km,moyenne et le tour de Simiane-la-Rotonde – Oppedette – Vachères, 17 km, difficile. Notre groupe rando a déjà entièrement parcouru quatre des cinq parcours ainsi que le tour Simiane-Oppedette-Vachères en partie , nous les recommandons chaleureusement.  Vous trouverez les fiches à la mairie (lundi après-midi, mercredi matin et vendredi après-midi )ainsi qu'à la Rotonde.

Exposition Ena Lindenbaur

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En écho aux 70e Rencontres internationales de Lure, Ena Lindenbaur présente une série de dessins et peintures sur le thème de l’écriture. D’un trait ininterrompu, elle provoque une tension ludique entre le signe, le sens et l’imaginaire. Exposition à la Galerie Pigments à Lurs, du 20 août au 18 septembre. Le vernissage aura lieu le samedi 20 août à partir de 18 heures, en présence de l’artiste.

Cinéma en plein air

Retrouvez toute la programmation des films en plein air de l'été ici. Retour sur la 10ème nuit du Court Métrage Ce samedi 6 août, le Cinéma de Pays a fêté à Manosque, les 10 ans de la Nuit du Court Métrage en  Haute Provence. Ce festival a débuté dès le matin avec une déambulation dans les rues de Manosque, Une équipe de tournage, (cadreur, clapman, ingénieur son, script, ...) constitué de techniciens amateurs de l'association CVA des Pennes Mirabeau, ainsi que deux comédiens en école de cinéma Yvanna MONNOT et Cédric GUEUGNON, ont animé le marché du samedi matin en faisant participer le public sur une scène d'un film imaginaire. Le festival s’est poursuivi le soir, au théâtre de verdure du Parc de Drouille, avec les projections tant attendues. En présence de Gabriel Harel, scénariste réalisateur primé aux Césars en 2020, les 200 spectateurs ont pu découvrir les 10 courts métrages, pour se laisser guider par des histoires surprenantes et touchantes, du drame à la comédie. E

« Quand le numérique détruit la planète »

Un article du Monde diplomatique (octobre 2021) qui fait réfléchir et que j’essaie de vous résumer. Merci à Guillaume Pitron qui en est l’auteur averti et documenté. Longtemps l’idée d’une industrie numérique propre car « immatérielle » a dominé les esprits ; la Silicon Valley semblait l’alliée naturelle dans la lutte contre le réchauffement climatique. Cruelle illusion ! Une enquête conduite sur plusieurs continents en révèle le coût environnemental exorbitant : la pollution digitale est colossale et c’est même celle qui croît le plus rapidement. Envoyer un courriel sur Gmail, un message sur What's App, l’émoticône d’un sourire ou des photos de chatons sur Snapchat, cela parait simple et inoffensif. Mais à l’échelle mondiale l’empreinte de l’industrie numérique (eau, matériaux, énergie) représente 3 fois celle d’un pays comme la France ; les technologies digitales mobilisent 10% de l’électricité produite dans le monde et rejetteraient 4% des émissions de CO2. La quantité de ressou

BigBand 13 embrasera Simiane

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Thierry Riboulet qui fût pendant 17 ans la force motrice du BigBand13 (BB13 pour les amis) est t rompettiste, professeur coordinateur du Département jazz et musiques actuelles du Conservoitoire d'Aix- en-Provence. Si quelqu'un est capable de faire passer la passion pour cette musique du nouveau monde  c'est bien lui ! Depuis qu'il s'est installé à Simiane-la-Rotonde, à Chavon, il fait profiter la commune de  son expérience dans le monde de la musique. En mai c'est grâce à lui que les simianais ont pu assister à un  concert de Alexis HK en direct du théâtre le Petit Duc d'Aix en streaming. Mais le concert du 13 juillet  sera du pur « live » ! Les musiciens du BigBand13, maintenant sous la direction de Michel Delakian, proposent leur tout  nouveau programme « Bleu Blanc Blues » ou : l'histoire transatlantique du jazz. Vingt musiciens et une  chanteuse sur scène bien décidés à mettre le feu au village. « Dès le fin de la première guerre mondiale le jazz déb

La Maison de l'Histoire et de Mémoire à Ongles

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  Souvenez-vous : l'année passée nous avons publié un article sur ce petit musée d'Ongles sur notre blog : Pas vraiment un musée, plutôt une exposition permanente, mais oh combien intéressante ! En septembre 1962 le petit village accueillit d'un jour à l'autre 25 familles d'anciens Harkis, soit 133 personnes, représentant la moitié de la population d'Ongles. D'abord logés dans des tentes, mais après une orage dévastatrice dans les granges et greniers des habitants les uns et les autres apprennent à se connaître. Un campement « en dur » permet bientôt un meilleur abri aux réfugiés. L'aventure de la cohabitation commence … L'exposition au « château » du village, sur trois niveaux, raconte la suite de cette histoire.  Par les fenêtres nord du bâtiment on peut découvrir le site et ruines de l'ancien «hameau des Harkis» à flanc de colline. Nous avons voulu voir tout cela par nos propres yeux et bien nous a pris : Thierry Michelon, notre guide,

Les nuits de Carluc

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  Martine Cazin et Patrice Poutout : le dessin et la  sculpture, un même espace ; tous deux ont fait  le choix d’un langage simple, on pourrait dire  minimaliste.  Il y a déjà plusieurs années, il a dénudé le corps  jusqu’à l’os, la structure, dressant celle-ci  frontalement comme une gardienne de temple.  Elle a abandonné couleurs et pinceaux pour ne  plus utiliser que le crayon ou la plume et les  signes simples laissés sur le papier.  Mais dans cette rigueur affirmée, il se passe beaucoup de choses : la courbe tendue à l’extrême de la sculpture  n’est jamais rigide mais conduit le regard vers l’ailleurs, la subtilité du travail de surface adoucit l’austérité des  formes et répond aux dessins. Et ceux-ci semblent parfois avoir pris corps dans les sculptures. Un beau dialogue  entre deux arts à priori opposés.  Martine Cazin Après avoir terminé une longue vie de céramiste et peintre, depuis 2005 elle se consacre au dessin. Elle est responsable de La maison de Brian à Simiane-la-Roto