LE SHAGA de Marguerite Duras Trois personnages, trois femmes dont une s’appelle «Paul» Sont-elles ... Folles ? Peut-être ... Enfermées ? Peut-être ... Délirantes ? Certainement ! Le langage de l’une est étrange. Elle parle Shaga «Kaback itou ! Srau srau ! Hamba !». Les deux autres parlent un français clair, compréhensible : «- Elle dit que c’est très fragile un oiseau. On le serre un peu fort, et puis...` - Duxa xita akara - Tandis que les chats, c’est plus difficile, elle dit». Il est question de Bidon d’essence, de voyage à Monte Carlo et à Liverpool, de shagouins sur un îlot de corail, d’oiseau qui parle, de lion domestique, de disparition de vie intérieure, de la place du rire dans le corps, ... Avec Agnès Melchio, Lucienne Cathala, Pascaline Van Haelst Mise en scène Jean-Noël Namboutin Durée 1h10 La première a été présentée à Vachères devant un public nombreux et captivé. Beaucoup de rire Beaucoup d’émotion C’est la folie montrée comme une immense tragédie drôl